La décision a été prise dans la foulée de l'avis de l'Agence française de sécurité sanitaire des aliments qui a estimé que le niveau de risque pour la France devait passer de "négligeable" à "faible".
Le dispositif va être complété par un renforcement de la surveillance des oiseaux sauvages, l'interdiction des lâchers de pigeons "avec départ ou survol des pays où des cas sont apparus" et interdiction du transport des appelants.
Les services vétérinaires sont "également mobilisés de façon permanente pour assurer le maintien des mesures de vigilance et veiller à ce que l'ensemble des acteurs restent mobilisés", précise un communiqué du ministère de l'Agriculture.
Dominique de Villepin doit réunir mardi matin les ministres concernés à 11h00 à Matignon pour "définir le dispositif qui va être mis en place dans les prochains jours en fonction des résultats de l'enquête engagée par les autorités britanniques et de la concertation européenne", a fait savoir le service de presse du Premier ministre.
"Ce qui est préoccupant, c'est qu'elle (la grippe aviaire) soit de retour sur le sol de l'Union européenne", a déclaré dans la matinée le ministre de l'Agriculture, Dominique Bussereau, sur RTL en estimant que la situation nécessitait "une très grande vigilance, mais pas d'affolement".
Les experts français soulignent que le risque immédiat que représente le foyer britannique pour la France et l'ensemble des pays de l'Union "dépend essentiellement de la capacité des autorités britanniques à le contrôler".
Le dispositif va être complété par un renforcement de la surveillance des oiseaux sauvages, l'interdiction des lâchers de pigeons "avec départ ou survol des pays où des cas sont apparus" et interdiction du transport des appelants.
Les services vétérinaires sont "également mobilisés de façon permanente pour assurer le maintien des mesures de vigilance et veiller à ce que l'ensemble des acteurs restent mobilisés", précise un communiqué du ministère de l'Agriculture.
Dominique de Villepin doit réunir mardi matin les ministres concernés à 11h00 à Matignon pour "définir le dispositif qui va être mis en place dans les prochains jours en fonction des résultats de l'enquête engagée par les autorités britanniques et de la concertation européenne", a fait savoir le service de presse du Premier ministre.
"Ce qui est préoccupant, c'est qu'elle (la grippe aviaire) soit de retour sur le sol de l'Union européenne", a déclaré dans la matinée le ministre de l'Agriculture, Dominique Bussereau, sur RTL en estimant que la situation nécessitait "une très grande vigilance, mais pas d'affolement".
Les experts français soulignent que le risque immédiat que représente le foyer britannique pour la France et l'ensemble des pays de l'Union "dépend essentiellement de la capacité des autorités britanniques à le contrôler".
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