Ces tarifs avaient été fixés en 1999 et n'avaient pas été réévalués depuis, ce qui causait des difficultés d'accès aux soins aux bénéficiaires de la couverture maladie universelle complémentaire (CMU-C), qui sont particulièrement démunis.
L'augmentation des taris varie selon la fréquence des actes mais représente "en moyenne une hausse de 30%", selon un communiqué du ministère.
En outre, précise-t-on, Xavier Bertrand "a demandé que soient inscrites, dans la convention dentaire qui lie l'assurance-maladie et les chirurgiens dentistes, des dispositions spécifiques pour un meilleur suivi et accompagnement thérapeutique des bénéficiaires de la CMU-C".