Après plusieurs jours de vacances à Louxor puis dans la station balnéaire de Charm el-Cheikh, au bord de la mer Rouge, le chef de l'Etat français est arrivé dans la capitale égyptienne peu après 10 heures, accompagné de son ministre des Affaires étrangères Bernard Kouchner.
Le président Nicolas Sarkozy est arrivé au Caire pour une visite officielle d'une journée, sa première dans un pays du Proche-Orient depuis son entrée à l'Elysée.
Il devait ensuite se rendre au palais présidentiel pour un entretien avec son homologue Hosni Moubarak, avec qui il s'était déjà longuement entretenu vendredi matin à Charm-el-Cheikh, sur les bords de la mer Rouge.
Cette visite est l'occasion pour les Egyptiens et leurs voisins d'écouter les prises de position du président français sur les sujets qui intéressent le monde arabe.
Les deux hommes devraient aborder la situation au Pakistan après l'assassinat de Benazir Bhutto, et au Liban, qui n'a plus de président depuis le 23 novembre.
Le processus de paix israélo-palestinien, relancé le mois dernier avec la conférence d'Annapolis, le dossier du nucléaire iranien, la crise humanitaire dans la région soudanaise du Darfour, la lutte contre le terrorisme et le projet de création d'une Union méditerranéenne sont aussi au menu des discussions.
La coopération économique franco-égyptienne devrait également être évoquée, à l'heure où la France est en passe de devenir le premier investisseur étranger en Egypte grâce au récent rachat (pour 8,8 milliards d'euros) par Lafarge de l'égyptien Orascom Cement, leader du secteur du ciment au Proche-Orient et dans le bassin méditerranéen.
Le président Nicolas Sarkozy est arrivé au Caire pour une visite officielle d'une journée, sa première dans un pays du Proche-Orient depuis son entrée à l'Elysée.
Il devait ensuite se rendre au palais présidentiel pour un entretien avec son homologue Hosni Moubarak, avec qui il s'était déjà longuement entretenu vendredi matin à Charm-el-Cheikh, sur les bords de la mer Rouge.
Cette visite est l'occasion pour les Egyptiens et leurs voisins d'écouter les prises de position du président français sur les sujets qui intéressent le monde arabe.
Les deux hommes devraient aborder la situation au Pakistan après l'assassinat de Benazir Bhutto, et au Liban, qui n'a plus de président depuis le 23 novembre.
Le processus de paix israélo-palestinien, relancé le mois dernier avec la conférence d'Annapolis, le dossier du nucléaire iranien, la crise humanitaire dans la région soudanaise du Darfour, la lutte contre le terrorisme et le projet de création d'une Union méditerranéenne sont aussi au menu des discussions.
La coopération économique franco-égyptienne devrait également être évoquée, à l'heure où la France est en passe de devenir le premier investisseur étranger en Egypte grâce au récent rachat (pour 8,8 milliards d'euros) par Lafarge de l'égyptien Orascom Cement, leader du secteur du ciment au Proche-Orient et dans le bassin méditerranéen.
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