"Les patients, pour en bénéficier, doivent disposer d'un certificat médical, attestant les troubles cliniques", a précisé la ministre, qui insiste sur le fait que "cette provision ne prive les patients d'aucun recours".
Désirant qu'une telle provision soit versée "aux patients les plus touchés", Mme Bachelot a précisé que le seuil de surexposition retenu par l'Institut de radioprotection et de sûreté nucléaire, "pour avoir droit à cette indemnisation par avance, est d'être supérieur ou égal à 7% de dose de rayon en trop".