Cette semaine, le chanteur Tiken Jah Fakoly se rend au Burkina Faso pour lancer un coup de gueule face à la crise alimentaire annoncée au Sahel, aux côtés d'Action contre la faim.
Les indicateurs sont dans le rouge...
Le Burkina Faso est un pays enclavé dont la majorité de la population dépend de l'agriculture pluviale. Or le pays a enregistré un déficit céréalier en 2011 du fait des mauvaises pluies. Ce déficit brut atteint 30% dans la zone de la Tapoa, à l'est du pays. A cela s'ajoutent des prix des principales céréales dans la Tapoa très élevés sur l'ensemble des marchés et une précarité nutritionnelle chronique.
Or, depuis fin 2011, les équipes d'Action contre la Faim observent une forte hausse des admissions d'enfants sous-nutris dans les centres nutritionnels.
... mais il est encore temps
Si la situation est plus critique dans d'autres zones du Sahel, comme au Kanem au Tchad, la crise au Burkina Faso peut-elle être encore contenue. Pour cela, Action contre la Faim a mis en place un plan de riposte ad-hoc.
En visitant les programmes d'ACF dans l'est du Burkina, à Diapaga, Tiken Jah Fakoly souhaite appeler à une mobilisation internationale de grande ampleur pour que tout soit mis en œuvre sans attendre afin de réduire au maximum l'impact de cette crise annoncée.
Les indicateurs sont dans le rouge...
Le Burkina Faso est un pays enclavé dont la majorité de la population dépend de l'agriculture pluviale. Or le pays a enregistré un déficit céréalier en 2011 du fait des mauvaises pluies. Ce déficit brut atteint 30% dans la zone de la Tapoa, à l'est du pays. A cela s'ajoutent des prix des principales céréales dans la Tapoa très élevés sur l'ensemble des marchés et une précarité nutritionnelle chronique.
Or, depuis fin 2011, les équipes d'Action contre la Faim observent une forte hausse des admissions d'enfants sous-nutris dans les centres nutritionnels.
... mais il est encore temps
Si la situation est plus critique dans d'autres zones du Sahel, comme au Kanem au Tchad, la crise au Burkina Faso peut-elle être encore contenue. Pour cela, Action contre la Faim a mis en place un plan de riposte ad-hoc.
En visitant les programmes d'ACF dans l'est du Burkina, à Diapaga, Tiken Jah Fakoly souhaite appeler à une mobilisation internationale de grande ampleur pour que tout soit mis en œuvre sans attendre afin de réduire au maximum l'impact de cette crise annoncée.
Chacun ses préoccupations !