« Plutôt que d'effectuer des contrôles sur pièces trois ans plus tard, de réclamer des intérêts de retard, voire de retirer l'avantage de l'abattement de 20 % ou d'infliger des sanctions et des pénalités, nous préférons désormais créditer les gens de la bonne foi », explique-t-il.
Les demandes d'explication n'ont pas tardé à fuser de la part des contribuables, et le Syndicat national unifié des impôts (SNUI) a dénoncé hier l'engorgement des centres des impôts. « Les services qui ont à gérer la relance amiable ont déjà eu à gérer la réforme de la redevance et vont devoir traiter 800.000 réponses dans les prochaines semaines », s'inquiète-t-il.