Les six nouveaux vice-présidents ont donc dû être élus. Il s'agit de: Marc Laffineur (UMP), Marc Le Fur (UMP), Marc-Philippe Daubresse (UMP), Rudy Salles (NC), Jean-Marie Le Guen (PS) et Catherine Génisson (PS).
Les trois nouveaux questeurs Richard Mallié (UMP), Philippe Briand (UMP) et Marylise Lebranchu (PS) ont été nommés sans vote, un consensus ayant été préalablement trouvé.
A l'ouverture de la séance, présidée par le nouveau président de l'Assemblée nationale, Bernard Accoyer, c'est le président du groupe socialiste, Jean-Marc Ayrault, qui a ouvert le feu. Il a réitéré sa proposition de céder un des trois sièges de vice-président, que selon les calculs habituels ils auraient dû avoir, au groupe Gauche Démocrate Républicaine (GDR: Verts, Communistes, Outre-mer) à condition que l'UMP fasse de même pour le Nouveau Centre (NC).
Mais Jean-François Copé, président du groupe UMP, qui souhaitait que le PS cède un siège de vice-président au NC, a rappelé aux socialistes qu'ils se voyaient déjà accorder la présidence de la commission des Finances.
Et s'il est "tout à fait légitime que le groupe Nouveau Centre puisse bénéficier d'un poste à responsabilité qui soit celui de vice-président", ce n'est pas "la même logique" pour le groupe Gauche Démocrate Républicaine qui est un groupe "technique", a-t-il poursuivi en proposant au GDR un poste de secrétaire.
François Sauvadet, président du groupe NC, s'est rangé à l'avis de de M. Copé, estimant aussi que le PS avait déjà la présidence de la commission des Finances et qu'il "paraît légitime que la majorité puisse exprimer sa position majoritaire".
Les trois nouveaux questeurs Richard Mallié (UMP), Philippe Briand (UMP) et Marylise Lebranchu (PS) ont été nommés sans vote, un consensus ayant été préalablement trouvé.
A l'ouverture de la séance, présidée par le nouveau président de l'Assemblée nationale, Bernard Accoyer, c'est le président du groupe socialiste, Jean-Marc Ayrault, qui a ouvert le feu. Il a réitéré sa proposition de céder un des trois sièges de vice-président, que selon les calculs habituels ils auraient dû avoir, au groupe Gauche Démocrate Républicaine (GDR: Verts, Communistes, Outre-mer) à condition que l'UMP fasse de même pour le Nouveau Centre (NC).
Mais Jean-François Copé, président du groupe UMP, qui souhaitait que le PS cède un siège de vice-président au NC, a rappelé aux socialistes qu'ils se voyaient déjà accorder la présidence de la commission des Finances.
Et s'il est "tout à fait légitime que le groupe Nouveau Centre puisse bénéficier d'un poste à responsabilité qui soit celui de vice-président", ce n'est pas "la même logique" pour le groupe Gauche Démocrate Républicaine qui est un groupe "technique", a-t-il poursuivi en proposant au GDR un poste de secrétaire.
François Sauvadet, président du groupe NC, s'est rangé à l'avis de de M. Copé, estimant aussi que le PS avait déjà la présidence de la commission des Finances et qu'il "paraît légitime que la majorité puisse exprimer sa position majoritaire".
Un baromètre de la qualité des services publics …