Il est porté à "1 000 heures pour les industries du textile, de l’habillement, du cuir, pour l’industrie automobile et ses sous-traitants [...]", précise l’arrêté. Dans ces cas précis, et sur la base de 35 heures par semaine, cela correspond à une période de chômage technique autorisé pouvant aller jusqu’à 28 semaines par an : "Il vaut mieux garder un contrat de travail, quitte à travailler moins. Et retrouver son contrat une fois que la crise est passée", a souligné Eric Woerth, alors qu’il s’exprimait sur Europe 1, le 4 janvier.
En contrepartie, l’indemnisation touchée par les salariés mis au chômage technique est revalorisée, passant de 50 % de la rémunération brute à 60 %.