Même en tenant compte «du nombre de nouveaux propriétaires assujettis à cette taxe», l'augmentation de la taxe foncière, payée aux collectivités locales, «n'est pas dans la moyenne des chiffres nationaux», a-t-il précisé.
Selon le président de l'UNPI, «il y a dix ans, la taxe foncière représentait un mois de loyer, elle représente aujourd'hui un mois et demi de loyer».
L'Union nationale de la propriété immobilière souhaite que le gouvernement se penche sur la question du «pouvoir d'achat des propriétaires qui sont au nombre de 22 millions en contrôlant l'évolution de la taxe foncière» et propose que «la hausse de la taxe foncière sur les propriétés non bâties n'excède pas le coût de la vie, l'augmentation des bases et l'augmentation des taux confondues».
L’étude des évolutions de taux de l'UNPI est accessible à l’adresse : http://www.unpi.org/index.php?action=fiche_produit&id=379
Selon le président de l'UNPI, «il y a dix ans, la taxe foncière représentait un mois de loyer, elle représente aujourd'hui un mois et demi de loyer».
L'Union nationale de la propriété immobilière souhaite que le gouvernement se penche sur la question du «pouvoir d'achat des propriétaires qui sont au nombre de 22 millions en contrôlant l'évolution de la taxe foncière» et propose que «la hausse de la taxe foncière sur les propriétés non bâties n'excède pas le coût de la vie, l'augmentation des bases et l'augmentation des taux confondues».
L’étude des évolutions de taux de l'UNPI est accessible à l’adresse : http://www.unpi.org/index.php?action=fiche_produit&id=379
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