Carrefour ne communique pas sur le montant des investissements, mais ceux-ci devraient rester limités. Ainsi, les deux entrepôts dédiés au site appartiennent à des prestataires extérieurs, tout comme le centre d'appels.
Par ailleurs, Boostore s'appuiera sur le marketing, la logistique, l'informatique et surtout la puissance d'achat du deuxième distributeur mondial.
Maintenant, Carrefour devra trouver une place aux côtés de spécialistes comme Rue du commerce, Fnac.com ou Amazon déjà bien installés.
Carrefour présente Boostore comme un canal de vente complémentaire aux magasins physiques. Si le potentiel est à la hauteur des espérances, le site internet permettrait au groupe de distribution de reprendre la main sur un marché du non alimentaire sur lequel les hypermarchés ont pendant longtemps perdu des parts de march