Cette décision reconnaît, en effet, qu'une grande partie des arguments des Etats-Unis contre les mesures de soutien octroyées par les Etats partenaires d’Airbus et la Commission européenne n’étaient pas fondés ; c’est le cas en particulier des avances remboursables, des aides à la recherche et aux infrastructures ainsi que diverses opérations en capital.
Le gouvernement français, en étroite concertation avec la Commission européenne examine à présent les mesures à adopter pour se conformer pleinement à la décision de l’organe de règlement des différends de l’OMC.
Le gouvernement français attend désormais la conclusion du deuxième volet du contentieux concernant les subventions accordées à Boeing, actuellement en appel.