Mme Lagarde a souligné que la Société générale n'est pas obligée de fusionner avec un autre acteur du secteur, après la révélation par le groupe bancaire de 2,05 milliards d'euros de dépréciations supplémentaires et d'une fraude supposée lui ayant coûté près de 4,9 milliards d'euros.
"Société Générale n'est pas contrainte de s'adosser à un autre établissement financier," a dit la ministre avant d'ajouter que l'augmentation de capital réalisée par Société Générale a été garantie par deux banques renommées, Morgan Stanley et JPMorgan.