Cette mesure validée par le conseil d'administration du syndicat viticole doit toutefois être soumise à une assemblée générale extraordinaire le 18 avril.
Selon un communiqué transmis à AP, "ce plan qui fait partie d'un arsenal de mesures de régulation du marché permettra de diminuer les stocks de bordeaux et bordeaux supérieur qui pèsent sur le marché, et de soutenir un prix minimum pour le millésime 2005".
Un abondement de 450 euros par tonneau de 900 litres de vin distillé, financé par les viticulteurs bordelais, viendrait en plus de la distillation européenne demandée par le ministre de l'Agriculture Dominique Bussereau. Cela offrirait au producteur une fourchette de 810 à 900 euros par tonneau de vin rouge distillé, de 610 à 700 euros pour du blanc. En novembre 2005, le cours du tonneau de bordeaux rouge était tombé aux alentours de 700 euros. Un "blocus à 1.000 euros" a été instauré par les viticulteurs depuis décembre.
Cette mesure serait financée par un emprunt de 15 millions d'euros. Elle est cependant soumise à plusieurs conditions, dont l'obtention rapide par l'Etat français de la distillation de crise auprès de l'Europe.
Selon un communiqué transmis à AP, "ce plan qui fait partie d'un arsenal de mesures de régulation du marché permettra de diminuer les stocks de bordeaux et bordeaux supérieur qui pèsent sur le marché, et de soutenir un prix minimum pour le millésime 2005".
Un abondement de 450 euros par tonneau de 900 litres de vin distillé, financé par les viticulteurs bordelais, viendrait en plus de la distillation européenne demandée par le ministre de l'Agriculture Dominique Bussereau. Cela offrirait au producteur une fourchette de 810 à 900 euros par tonneau de vin rouge distillé, de 610 à 700 euros pour du blanc. En novembre 2005, le cours du tonneau de bordeaux rouge était tombé aux alentours de 700 euros. Un "blocus à 1.000 euros" a été instauré par les viticulteurs depuis décembre.
Cette mesure serait financée par un emprunt de 15 millions d'euros. Elle est cependant soumise à plusieurs conditions, dont l'obtention rapide par l'Etat français de la distillation de crise auprès de l'Europe.
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