Il parle bien de défaite et pas de « non victoire »
"C'est trop facile de s'exonérer de ses propres responsabilités", a-t-il dit en évoquant des "erreurs collectives".
"On a eu une droite complètement unie derrière son candidat et on n'a pas eu cette unité, cette cohésion qu'il aurait fallu avoir dans cette campagne difficile", notamment "une cohésion idéologique", a-t-il analysé.
"On ne peut pas écarter du jour au lendemain ceux qui existent déjà, qui ont déjà été des prétendants (...) Mais Je considère que Ségolène Royal représente un atout pour l'avenir", a-t-il dit.