« Je ne peux pas considérer qu'une réforme est légitime parce qu'elle obéit à une ambition personnelle »
Il s'agit d'une "réforme ad hominem, qui lui permettrait d'exercer le leadership de l'UMP (...) Je ne peux pas considérer qu'une réforme est légitime parce qu'elle obéit à une ambition personnelle", ajoute-t-il.
"Nous pourrions prévoir la création d'un poste de numéro un, que nous nommerions secrétaire général et qui serait entouré de deux vice-présidents délégués", explique-t-il, en faisant valoir que cette formule resterait "fidèle au principe du triumvirat qui a fort bien réussi à l'UMP jusqu'ici".