Le rapport est "accablant pour les groupes Lagardère, DaimlerChrysler, actionnaires d'EADS, ainsi que pour les principaux dirigeants du groupe européen et de sa filiale Airbus" qui "ont vendu les actions avant de rendre tardivement publiques les difficultés d'Airbus, ce qui a provoqué un effondrement des cours.
Toujours selon le Figaro, "le ministère des Finances également informé des difficultés à venir, a pourtant donné, à l'époque, son feu vert à la vente des actions détenues par Lagardère".