C’est accompagné de Christian Estrosi qu’il dera le point de la situation avec le préfet. Il se rendra ensuite à la rencontre des équipes de secours et des responsables économiques dans la partie sud de l’île, à Rivière-Pilote et Sainte-Luce.
Dans l’après-midi, il doit se rendre en Guadeloupe et rencontrer les professionnels de la filière fruits et légumes ainsi que ceux de la pêche, pour rentrer sur Paris en fin de journée.
Le cyclone a causé de graves dégâts matériels, ravageant en totalité les bananeraies par exemple. La première évaluation de M. Estrosi s’élève à 115 millions d’euros pour la seule remise en état de la culture bananière.
Le cyclone, qui s’est affaibli en traversant le Yucatan est aujourd’hui classé en catégorie 1, la moins violente.