A troisième trimestre 2009, les prix ont reculé de -1% selon la FNAIM, qui y voit une stabilisation. Sur l'année, la fédération anticipe un recul de -5% pour l'ensemble de l'hexagone. Mais on le sait, la situation peut être très contrastée selon les régions, voire selon les villes.
A Paris, la baisse est "complètement enrayée", selon la FNAIM
"A Paris, la baisse des prix est complètement enrayée, explique Gilles Ricour de Bourgies, président Ile-de-France de la FNAIM. Dans certains arrondissements nous enregistrons même des hausses, notamment dans le 6ème et les endroits typés comme l'Ile-Saint-Louis par exemple. Dans la capitale en effet, les prix auraient reculés de -2,8% sur les 12 derniers mois , selon la FNAIM (du 4ème trimestre 2008 au 3ème trimestre 2009, par rapport à la même période un an plus tôt). avec la très forte chute des prix du 4ème trimestre 2008, on peut effectivement considéré ce chiffre de -2,8% comme marquant une hausse des prix à Paris sur la fin de période.
Certaines, comme Toulon, Strasbourg ou Grenoble affichent de sérieuses baisses. Seules quatre villes sur 42 (Pau à +4,7%, le Creusot à +2,2%, Bordeaux à +2,1% et Les sables d'Olonne à +0,1%) sortent du rouge sur les douze derniers mois, toutes les autres, même quand elles enregistrent des améliorations, affichent des évolutions de prix encore négatives. Revue de détail.
A Paris, la baisse est "complètement enrayée", selon la FNAIM
"A Paris, la baisse des prix est complètement enrayée, explique Gilles Ricour de Bourgies, président Ile-de-France de la FNAIM. Dans certains arrondissements nous enregistrons même des hausses, notamment dans le 6ème et les endroits typés comme l'Ile-Saint-Louis par exemple. Dans la capitale en effet, les prix auraient reculés de -2,8% sur les 12 derniers mois , selon la FNAIM (du 4ème trimestre 2008 au 3ème trimestre 2009, par rapport à la même période un an plus tôt). avec la très forte chute des prix du 4ème trimestre 2008, on peut effectivement considéré ce chiffre de -2,8% comme marquant une hausse des prix à Paris sur la fin de période.
Certaines, comme Toulon, Strasbourg ou Grenoble affichent de sérieuses baisses. Seules quatre villes sur 42 (Pau à +4,7%, le Creusot à +2,2%, Bordeaux à +2,1% et Les sables d'Olonne à +0,1%) sortent du rouge sur les douze derniers mois, toutes les autres, même quand elles enregistrent des améliorations, affichent des évolutions de prix encore négatives. Revue de détail.
Les dix plus fortes baisses
Ville Prix au m2 en euros Variation annuelle moyenne sur 12 mois en %
Toulon 2.428 -17,5%
Strasbourg 2.295 -14%
Nevers 1.312 -14%
Chamalières 1.863 -12,8%
Grenoble 2.410 -12,6%
Meaux 2.653 -11,7%
Perpignan 1.824 -10,9%
Toulouse 2.502 -10,3%
Biarritz 3.939 -10,1%
Cannes 4.049 -9,8%
Source : FNAIM.
Ville Prix au m2 en euros Variation annuelle moyenne sur 12 mois en %
Toulon 2.428 -17,5%
Strasbourg 2.295 -14%
Nevers 1.312 -14%
Chamalières 1.863 -12,8%
Grenoble 2.410 -12,6%
Meaux 2.653 -11,7%
Perpignan 1.824 -10,9%
Toulouse 2.502 -10,3%
Biarritz 3.939 -10,1%
Cannes 4.049 -9,8%
Source : FNAIM.
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