Le ministère des Finances s'est félicité que le processus ait permis de valoriser dans de très bonnes conditions le patrimoine public, alors qu'une polémique avait surgi à la rentrée, y compris dans les rangs de la majorité, sur la valorisation de ces sociétés.
Et les marchés ont applaudi: les repreneurs français ont vu leurs titres s'envoler à la Bourse de Paris.
Le produit de ces privatisations servira pour 10 milliards au désendettement de l'Etat. Quatre milliards d'euros doivent être versés à l'agence de financement des infrastructures de transport de France (AFITF).