Elle se rapproche du niveau du premier choc pétrolier (environ 3,2% du PIB) mais elle reste bien inférieure à celui du deuxième choc (5% en 1981).
En 2005, les importations d'énergie ont représenté 50,25 milliards d'euros (+33,5% par rapport à 2004) et les exportations 11,98 milliards d'euros (+29,9% par rapport à 2004).La France a par ailleurs amélioré son efficacité énergétique, avec une diminution de 1,6% de la quantité d'énergie nécessaire pour produire de la valeur ajoutée. Le gouvernement s'est fixé comme objectif d'atteindre une baisse de 2% à l'horizon 2015.