Sur les huit sites universitaires de la capitale, quatre ont été l'objet de dégradations pendant le conflit sur le contrat première embauche, qui a opposé durant deux mois les étudiants au gouvernement.
Il s'agit de la Sorbonne, de Jussieu, de Tolbiac et de l'Ecole des hautes études en sciences sociales (EHESS).
A la Sorbonne, où les locaux ont été occupés pendant douze heures les 10 et 11 mars par environ 300 manifestants, les dégâts sont évalués de 500.000 à 550.000 euros, a-t-on estimé au rectorat.
"La facture est lourde", a dit le porte-parole tout en relevant qu'elle était en recul par rapport à une première estimation, établie juste après les dégradations et qui avançait entre 500.000 et un million d'euros de dégâts.
Les dégâts concernent notamment la chaudière et le système de détection d'incendie. Des portes, des fenêtres, près de 200 tables et chaises ainsi que 70 à 80 ordinateurs ont aussi été endommagés, a-t-il précisé.
A l'EHESS, où de nombreuses dégradations ont été commises par 70 occupants, la facture est estimée à plus de 600.000 euros. Les quatre étages du bâtiment ont été saccagés, le mobilier, les portes ainsi que les vitres ont été brisés et les ordinateurs volés.
Il s'agit de la Sorbonne, de Jussieu, de Tolbiac et de l'Ecole des hautes études en sciences sociales (EHESS).
A la Sorbonne, où les locaux ont été occupés pendant douze heures les 10 et 11 mars par environ 300 manifestants, les dégâts sont évalués de 500.000 à 550.000 euros, a-t-on estimé au rectorat.
"La facture est lourde", a dit le porte-parole tout en relevant qu'elle était en recul par rapport à une première estimation, établie juste après les dégradations et qui avançait entre 500.000 et un million d'euros de dégâts.
Les dégâts concernent notamment la chaudière et le système de détection d'incendie. Des portes, des fenêtres, près de 200 tables et chaises ainsi que 70 à 80 ordinateurs ont aussi été endommagés, a-t-il précisé.
A l'EHESS, où de nombreuses dégradations ont été commises par 70 occupants, la facture est estimée à plus de 600.000 euros. Les quatre étages du bâtiment ont été saccagés, le mobilier, les portes ainsi que les vitres ont été brisés et les ordinateurs volés.
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