L'ancien candidat à la présidentielle a jugé que "c'est par une aggravation du déficit, et un report sur d'autres catégories sociales des prélévements fiscaux qu'on va financer ces mesures d'avantages fiscaux". Avantages qui ne concernent qu'"un certain nombre de catégories de la population".
Quant aux heures supplémentaires, le député des Pyrénées atlantiques a précisé qu'"on enlève les charges fiscales mais on n'enlève pas une partie des charges sociales, ce qui donne à la mesure une portée moindre".