"C'est une maladie française que de vouloir changer la Constitution tous les cinq matins. C'est d'ailleurs une maladie française de penser que quand on vote une loi, on résout un problème", a poursuivi M. Sarkozy.
"Nous avons de bonnes institutions, il y a quelques changements à faire, mais ce qu'il faut changer c'est le chômage, le plein-emploi, le pouvoir d'achat, l'immigration qu'il faut maîtriser. Ce n'est pas les problèmes de VIe, de VIIe ou de VIIIe République", a conclu le candidat UMP, dont le programme contient quelques évolutions institutionnelles, comme la possibilité pour le président de s'exprimer devant le Parlement ou le contrôle du Parlement sur les nominations.