GOLLNISCH - par ailleurs professeur à l’Université Lyon III - lors d’une conférence de presse au siège local du Front National, sur le rapport de l’historien Henry ROUSSO sur le négationnisme à l’Université Lyon III, remis le 6 octobre 2004 au Ministère de l’Education Nationale.
Cette déclaration commune indiquait notamment que M. Bruno GOLLNISCH venait « d’exprimer (…) des propos clairement négationnistes et à forte connotation raciste (…) des propos qui nous renvoient aux pires moments de notre histoire (…) portant atteinte à la vérité historique, au combat de tous ceux qui ont lutté au sacrifice de leur vie contre les nazis et leurs soutiens (…) sont une insulte aux résistants, aux victimes de la déportation et à leurs familles, aux justes qui ont sauvé des juifs d’une mort programmée. »
«En confirmant ce jour le jugement de première instance et en soulignant « la bonne foi » de Jean-Jack QUEYRANNE, la Cour d’appel de Lyon donne un signe fort à tous les républicains que leur vigilance de chaque jour pour défendre les valeurs de la République n’est pas vaine», peut-on lire dans le communiqué de presse de la Région Rhône-Alpes.