"Nous ne sommes plus le 6 mai. Depuis, le parti socialiste a subi le choc de la défaite, donc il est en plein désarroi et inversement, le président Sarkozy et le gouvernement ont donné un élan qui est bien ressenti dans l'opinion publique française", a-t-il ajouté.
"Si on ajoute à tout ça le fait qu'une élection législative chez nous implique aussi le coefficient personnel des candidats, je pense que ça devrait marcher. Mais je ferai campagne jusqu'au dernier moment."