« L’atmosphère politique changera
Edouard Balladur
"Je ne crois pas qu'il soit dans l'intérêt de la majorité de multiplier les piques, les objections, les critiques et les polémiques sur tous les sujets. C'est contraire à l'intérêt général" s’insurge lancien Premier ministre.
"Il serait temps que chacun s'en rende compte. On se fait beaucoup de mal les uns aux autres de cette manière. De grâce, arrêtons ce jeu", a-t-il notamment déclaré.
En fait, Edouard Balladur est certain que ", date du congrès de l'UMP pour la désignation de son candidat.
"Il y aura deux candidats, un candidat socialiste et le candidat de l'UMP dont je souhaite que ce soit Nicolas Sarkozy (...) Le débat sera clarifié", a-t-il affirmé, ceci nonobstant les désaccords avec le programme de Nicolas Sarkozy exprimés devant le Conseil national de l'UMP par Michèle Alliot-Marie, ministre de la Défense.
De son côté, le villepiniste François Goulard multiplie les critiques contre le président de l'UMP, qui, selon lui, refuserait le débat au sein de l'UMP.
Une « pique » plutôt malvenue puisque les propos de MAM n’ont pas été censurés et que justement ils viennent nourrir un débat interne qui ne peut qu’être constructif instillant davantage encore de liberté et de démocratie au sein du pari lui-même offrant dès lors une image moins monolithique aux françaises et aux français.
"Il serait temps que chacun s'en rende compte. On se fait beaucoup de mal les uns aux autres de cette manière. De grâce, arrêtons ce jeu", a-t-il notamment déclaré.
En fait, Edouard Balladur est certain que ", date du congrès de l'UMP pour la désignation de son candidat.
"Il y aura deux candidats, un candidat socialiste et le candidat de l'UMP dont je souhaite que ce soit Nicolas Sarkozy (...) Le débat sera clarifié", a-t-il affirmé, ceci nonobstant les désaccords avec le programme de Nicolas Sarkozy exprimés devant le Conseil national de l'UMP par Michèle Alliot-Marie, ministre de la Défense.
De son côté, le villepiniste François Goulard multiplie les critiques contre le président de l'UMP, qui, selon lui, refuserait le débat au sein de l'UMP.
Une « pique » plutôt malvenue puisque les propos de MAM n’ont pas été censurés et que justement ils viennent nourrir un débat interne qui ne peut qu’être constructif instillant davantage encore de liberté et de démocratie au sein du pari lui-même offrant dès lors une image moins monolithique aux françaises et aux français.
Candidat libre, pour une métropole libre !