Cette déclaration de candidature aura "un côté original et personnel", a précisé M. Bayrou
Cette déclaration de candidature aura "un côté original et personnel", a précisé M. Bayrou, à quelques journalistes lors d'un déplacement à Marseille.
M. Bayrou, originaire de Bordères, petit village des Pyrénées-Atlantiques, a indiqué qu'elle aurait lieu dans "un lieu moins institutionnel" que celle du 27 novembre 2001, lorsqu'il avait annoncé sa candidature pour la présidentielle de 2002 au conseil général des Pyrénées-Atlantiques, dont il venait de quitter la présidence.
Selon le calendrier arrêté lors du dernier conseil national de l'UDF, les candidats qui souhaitent obtenir le soutien du parti centriste à la présidentielle ont jusqu'au 5 décembre pour se faire connaître.
Interrogé sur une éventuelle candidature du seul ministre UDF au sein du gouvernement, Gilles de Robien, qui conteste sa stratégie anti-UMP, M. Bayrou a répondu "je ne crois pas".
"La guerre est inscrite dans les gènes de l'UMP (...) l'enjeu est aujourd'hui la guerre de succession" de M. Chirac, a-t-il estimé.
"Pour moi, l'enjeu ce n'est pas comme à l'UMP droite contre gauche, c'est France contre décomposition", a-t-il dit.
M. Bayrou, originaire de Bordères, petit village des Pyrénées-Atlantiques, a indiqué qu'elle aurait lieu dans "un lieu moins institutionnel" que celle du 27 novembre 2001, lorsqu'il avait annoncé sa candidature pour la présidentielle de 2002 au conseil général des Pyrénées-Atlantiques, dont il venait de quitter la présidence.
Selon le calendrier arrêté lors du dernier conseil national de l'UDF, les candidats qui souhaitent obtenir le soutien du parti centriste à la présidentielle ont jusqu'au 5 décembre pour se faire connaître.
Interrogé sur une éventuelle candidature du seul ministre UDF au sein du gouvernement, Gilles de Robien, qui conteste sa stratégie anti-UMP, M. Bayrou a répondu "je ne crois pas".
"La guerre est inscrite dans les gènes de l'UMP (...) l'enjeu est aujourd'hui la guerre de succession" de M. Chirac, a-t-il estimé.
"Pour moi, l'enjeu ce n'est pas comme à l'UMP droite contre gauche, c'est France contre décomposition", a-t-il dit.
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