"Tout le sens de mon action, c'est que les gens comme Strauss-Kahn et comme Borloo, qui ont fait avec plus ou moins de bonne humeur les choix politiques qu'ils ont été obligés de faire (...), il n'y a que moi qui puisse les faire travailler ensemble", a-t-il déclaré devant la presse, avant une réunion publique au Zénith de la ville.
M. Bayrou a au passage répliqué à l'ancien Premier ministre socialiste Lionel Jospin, qui avait jugé lundi une alliance PS-UDF "ni opportune ni pertinente". "Lionel Jospin, depuis 2002, aurait pu réfléchir à la question de savoir pourquoi il lui était arrivé ce qui lui était arrivé", a-t-il dit.
"
Il croit toujours, sans doute, que c'est la candidature de M. Chevènement ou celle de Mme Taubira qui ont expliqué son échec", a continué le candidat centriste: "il ne se rend pas compte que c'est le PS comme il était, le gouvernement comme il était qui expliquent son échec. Et à droite, c'est la même chose".
M. Bayrou a au passage répliqué à l'ancien Premier ministre socialiste Lionel Jospin, qui avait jugé lundi une alliance PS-UDF "ni opportune ni pertinente". "Lionel Jospin, depuis 2002, aurait pu réfléchir à la question de savoir pourquoi il lui était arrivé ce qui lui était arrivé", a-t-il dit.
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Il croit toujours, sans doute, que c'est la candidature de M. Chevènement ou celle de Mme Taubira qui ont expliqué son échec", a continué le candidat centriste: "il ne se rend pas compte que c'est le PS comme il était, le gouvernement comme il était qui expliquent son échec. Et à droite, c'est la même chose".
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