l a averti que cette "entreprise de diabolisation" serait poursuivie entre les deux tours. "Alors il faudra dire trop c'est trop, et j'aurai peut-être l'occasion de le dire."
"Dès l'automne 2006, il était déjà limpide pour beaucoup d'entre nous que si la confrontation portait sur (...) les idées et sur la capacité à gouverner, alors Ségolène Royal n'avait guère de chance de l'emporter face à Nicolas Sarkozy", a-t-il déclaré. ".
Je suis un homme de gauche qui va soutenir et voter pour un homme qui se revendique de droite", a insisté l'ex-responsable socialiste
Alors je dirai simplement, forza Nicolas et allez la France !" a conclu Eric Besson