"Il y a un moment où on se dit 'est-ce qu'on va continuer comme ça très longtemps ?' Lorsque, par ailleurs, il y a une vraie volonté de réforme, une vraie volonté d'ouverture et des personnes - je pense au président de la République - qui sont loin de la caricature que l'on fait parfois à gauche", a-t-il expliqué sur RTL juste après sa nomination mardi.
Avec Bernard Kouchner (Affaires étrangères), Jean-Pierre Jouyet (Affaires européennes), Bernard Besson (Prospective) ou encore Fadela Amara (Ville), Jean-Marie Bockel vient allonger la liste des personnalités de gauche ayant accepté la main tendue du chef de l'Etat.
Une "trahison", estime le Mouvement des jeunes socialistes, qui fustige "les nouveaux débauchages opérés par la droite".