"S'il n'existe pas à l'Assemblée un vrai débat représentant exactement les aspirations de la société, il aura lieu dans la rue", prévient le député européen, citant les manifestations contre la réforme des retraites de 1995.
Le scrutin majoritaire "induit un décalage très important entre les aspirations de la société et leur représentation" car "avec une minorité de voix, vous obtenez une majorité de sièges", déplore-t-il.