Il a précisé faire "confiance aux professeurs pour choisir les systèmes les plus efficaces de sorte que les élèves qui n'ont pas un environnement familial qui les aiderait à s'en sortir de toute façon ne soient pas abandonnés en cours de route".
"Nous faisons trop de choses à l'école primaire, on se disperse", a argumenté le ministre, qui a souhaité "revenir aux fondamentaux, aux exercices les plus nécessaires à l'exercice intellectuel sous toutes ses formes : lire, écrire, compter".
Selon le ministre, cela exige de "réfléchir à nouveau sur le fonctionnement de l'école maternelle" où il a évoqué des "situations très disparates.
Rappelant que "tout se joue à l'école primaire", il a enfin argumenté pour qu'il y ait "un temps, qui soit le même partout, consacré à l'étude de la langue, un temps, qui soit le même partout, consacré à mémoriser, apprendre par coeur, se souvenir, un temps qui soit le même partout pour apprendre les tables de multiplication, etc".