"Le retard est préoccupant", a déclaré Gilles de Robien sur les ondes de RMC jeudi.
"Dans chaque université, en fonction des perturbations, il faut envisager soit de rattraper les cours ou bien, le cas échéant, dans les cas extrêmes, de décaler les examens, peut-être en septembre pour certains cas", a-t-il dit.