"Si on repart avec dix ou douze candidats à gauche ou à l'extrême gauche, on connaît le risque", a-t-il dit, en faisant allusion à l'élimination de Lionel Jospin le 21 avril 2002.
Toutefois, a-t-il estimé, "les électeurs auront cette fois-ci la volonté de prévenir le risque en votant utile pour le PS, pour qu'il soit au second tour".