Le président de l'UDF est crédité de 18% d'intentions de vote contre 21,5% lors de la précédente enquête les 21 et 22 mars et retrouve son score de fin février. Le président de l'UDF, dont c'est la troisième baisse consécutive dans les études de cet institut, était à 23% d'intentions de vote les 7 et 8 mars.
Nicolas Sarkozy gagne en revanche deux points et atteint 30%. Ségolène Royal reste en deuxième position à 27% contre 26,5%. Jean-Marie Le Pen gagne un point à 12%.
Olivier Besancenot est le "petit" candidat le mieux placé avec 3,5% d'intentions de vote, stable, devant Marie-George Buffet (2,5%).
Le profil du second tour reste inchangé avec un Nicolas Sarkozy à 52% des suffrages exprimés contre 48% à Ségolène Royal.
Les Français se disent à 60% sûrs de leur choix, contre 62% les 21 et 22 mars, tandis que 37%, contre 34%, disent pouvoir changer d'avis.
En ce qui concerne l'actualité immédiate, 57% des sondés attribuent aux "jeunes" la responsabilité des affrontements de la gare du Nord le 27 mars à Paris et 7% aux forces de l'ordre. Seize pour cent estiment que les responsabilités sont partagées et 20% sont sans opinion.
Les Français sont 45% à penser que ces événements profiteront surtout à Jean-Marie Le Pen.
L'enquête a été réalisée les 29 et 29 mars auprès de 1.000 personnes âgées de 18 ans et plus.
Nicolas Sarkozy gagne en revanche deux points et atteint 30%. Ségolène Royal reste en deuxième position à 27% contre 26,5%. Jean-Marie Le Pen gagne un point à 12%.
Olivier Besancenot est le "petit" candidat le mieux placé avec 3,5% d'intentions de vote, stable, devant Marie-George Buffet (2,5%).
Le profil du second tour reste inchangé avec un Nicolas Sarkozy à 52% des suffrages exprimés contre 48% à Ségolène Royal.
Les Français se disent à 60% sûrs de leur choix, contre 62% les 21 et 22 mars, tandis que 37%, contre 34%, disent pouvoir changer d'avis.
En ce qui concerne l'actualité immédiate, 57% des sondés attribuent aux "jeunes" la responsabilité des affrontements de la gare du Nord le 27 mars à Paris et 7% aux forces de l'ordre. Seize pour cent estiment que les responsabilités sont partagées et 20% sont sans opinion.
Les Français sont 45% à penser que ces événements profiteront surtout à Jean-Marie Le Pen.
L'enquête a été réalisée les 29 et 29 mars auprès de 1.000 personnes âgées de 18 ans et plus.
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