A ce moment là, "j'apprécierai la manière dont je peux être utile", a-t-il ajouté. "Il faut sortir de l'idée qu'il n'y a de parole politique forte que si elle émane d'un candidat", a-t-il aussi déclaré.
D'ici là le premier secrétaire du PS veut être en mesure de jouer pleinement son rôle et "d'exprimer les idées, les méthodes, l'engagement" du Parti socialiste, a-t-il expliqué, en insistant sur l'importance du programme du parti, qui doit être bouclé au début de l'été. "Nous allons sans doute au PS désigner le prochain président de la République", a-t-il souligné.