"Avec certains partis, nous pouvons présenter un même projet de gouvernement : avec les radicaux de gauche, avec le mouvement de Jean-Pierre Chevènement (MRC), peut-être avec d'autres encore", a-t-il déclaré dimanche soir lors de l'émission Le Grand Rendez-vous d'Europe 1, TV5, Le Monde et Le Parisien.
"Eh bien que celles et ceux qui sont capables de se retrouver sur les mêmes propositions présentent le même candidat", a-t-il ajouté.
François Hollande a réitéré sa volonté de conclure avec ces formations un accord électoral pour des circonscriptions aux élections législatives et un accord politique sur un projet de gouvernement.
En échange de leur renoncement à présenter un candidat à la présidentielle, ces formations pourront ainsi "avoir des élus à l'Assemblée nationale" et "une présence au gouvernement si nous sommes en situation d'agir".
François Hollande souhaite ainsi éviter la dispersion des voix de gauche sur des candidats multiples qui avait empêché en 2002 le candidat socialiste, Lionel Jospin, d'accéder au second tour de la dernière présidentielle.
"Si nous ne sommes pas entendus, je veux que les électeurs et les électrices soient convaincus que le Parti socialiste a fait tout son devoir", a-t-il ajouté. "Et je lancerai à ce moment-là un appel aux électeurs pour qu'ils fassent un vote utile dès le premier tour et qu'ils mettent le PS en situation, non seulement d'être au second tour, mais le plus haut possible pour gagner."
"Eh bien que celles et ceux qui sont capables de se retrouver sur les mêmes propositions présentent le même candidat", a-t-il ajouté.
François Hollande a réitéré sa volonté de conclure avec ces formations un accord électoral pour des circonscriptions aux élections législatives et un accord politique sur un projet de gouvernement.
En échange de leur renoncement à présenter un candidat à la présidentielle, ces formations pourront ainsi "avoir des élus à l'Assemblée nationale" et "une présence au gouvernement si nous sommes en situation d'agir".
François Hollande souhaite ainsi éviter la dispersion des voix de gauche sur des candidats multiples qui avait empêché en 2002 le candidat socialiste, Lionel Jospin, d'accéder au second tour de la dernière présidentielle.
"Si nous ne sommes pas entendus, je veux que les électeurs et les électrices soient convaincus que le Parti socialiste a fait tout son devoir", a-t-il ajouté. "Et je lancerai à ce moment-là un appel aux électeurs pour qu'ils fassent un vote utile dès le premier tour et qu'ils mettent le PS en situation, non seulement d'être au second tour, mais le plus haut possible pour gagner."
Candidat libre, pour une métropole libre !