"J'essayerai de choisir des femmes et des hommes en fonction de leur compétence", a expliqué le candidat de l'UMP, invité de l'émission "A vous de juger" sur France-2, en précisant qu'il voulait "mettre un terme aux nominations de complaisance". "Je ne suis pas l'homme d'un clan, je ne suis pas l'homme d'un parti, je ne serai pas l'homme d'une secte", a-t-il déclaré.
Il a toutefois concédé qu'il avait "envie de travailler" avec François Fillon, avec Jean-Louis Borloo, avec Michèle Alliot-Marie, "et quelques autres".
Nicolas Sarkozy a souhaité la constitution d'une "équipe soudée avec des personnalités qui viendraient d'autres formations politiques que la formation politique majoritaire" et annoncé un nombre limité de ministères, avec la création d'un ministère de l'Immigration et de l'identité nationale qui traiterait un dossier actuellement géré par trois ministères différents.
"Il ne faut se priver d'aucun talent pour faire une équipe de France A", a-t-il souligné, mais il n'a pas voulu donner de précisions concernant le choix d'un Premier ministre. Il a seulement observé que "la légitimité du Premier ministre, elle dépend du président de la République".
Il a souhaité par ailleurs "que le Parlement ait plus de pouvoirs, et notamment de pouvoirs de contrôle, et notamment de pouvoirs en matière de politique étrangère".
Il a toutefois concédé qu'il avait "envie de travailler" avec François Fillon, avec Jean-Louis Borloo, avec Michèle Alliot-Marie, "et quelques autres".
Nicolas Sarkozy a souhaité la constitution d'une "équipe soudée avec des personnalités qui viendraient d'autres formations politiques que la formation politique majoritaire" et annoncé un nombre limité de ministères, avec la création d'un ministère de l'Immigration et de l'identité nationale qui traiterait un dossier actuellement géré par trois ministères différents.
"Il ne faut se priver d'aucun talent pour faire une équipe de France A", a-t-il souligné, mais il n'a pas voulu donner de précisions concernant le choix d'un Premier ministre. Il a seulement observé que "la légitimité du Premier ministre, elle dépend du président de la République".
Il a souhaité par ailleurs "que le Parlement ait plus de pouvoirs, et notamment de pouvoirs de contrôle, et notamment de pouvoirs en matière de politique étrangère".
Candidat libre, pour une métropole libre !