
Devant une presse nombreuse réunie pour attendre les derniers candidats venant déposer les signatures exigées avant l'heure limite de 18H00, M. Nihous, 39 ans, attaché contractuel en mairie, a indiqué également qu'il "saisissait le président du CSA" pour lui demander "de quelle façon" allait pouvoir être comblé son retard dans les temps de parole dans les médias.
C'est la deuxième fois qu'un candidat se présente au nom de CPNT, parti qui se veut le défenseur de la ruralité, après Jean Saint-Josse en 2002 (4,23% au premier tour). Ce dernier dirige cette année la campagne de M. Nihous.
A son arrivée devant le Conseil, le champion de CPNT n'avait pas été en mesure de dire aux journalistes si oui ou non il pouvait concourir : "je suis dans le même brouillard que vous", avait-il lancé, affirmant ne pas savoir combien le Conseil constitutionel avait reçu de parrainages à son nom.