"Ce que je lui dis, c'est qu'il doit prendre sa place dans le débat au premier tour, mais ce que je dis aux électeurs, c'est qu'il faut que Ségolène Royal soit au second", a-t-il ajouté lorsqu'il était interrogé sur la candidature de José Bové, qui avait dénoncé les consignes passées par le PS pour empêcher les petits candidats d'avoir leurs 500 parrainages.
Ironisant sur la présence de multiple candidats d'extrême-gauche, François Hollande a regretté que celle-ci n'ait pas mieux structuré son "offre politique". "Est-ce que le trotskysme a suffisamment de subtilité pour justifier trois candidats ?", a-t-il demandé.