"Les universités qui le voudront pourront le faire, les universités qui ne le voudront pas n'auront pas les moyens de l'Etat, c'est une très grave difficulté", a-t-il dit.
De plus, "on nous dit 'il n'y a pas de sélection'. Puis les syndicats étudiants découvrent à la lecture du texte qu'il y a une sélection qui est mise à l'entrée de la quatrième année", a relevé le Premier secrétaire du PS.
Enfin, a-t-il achevé, "si c'est ça qu'on a à nous proposer, de réduire le nombre des étudiants présents dans les conseils d'administration" des universités, " tellement ridicule".