"Quand il s'est produit le 21 avril 2002, je ne peux pas considérer que la présence de Ségolène Royal serait une certitude", a-t-il ajouté.
Le premier secrétaire du PS a estimé que "c'est la faute que nous avons commise il y a cinq ans en disant : +mais de toute manière on aura Jospin face à Chirac au second tour de l'élection, on n'a qu'à se disperser, on n'a qu'à laisser passer le premier tour+".
"Alors maintenant, moi je dis à ceux qui veulent une véritable alternative et qui hésitent encore, votez Ségolène Royal dès le premier tour et c'est la meilleure façon d'assurer la victoire", a-t-il conclu.