"Il y a donc désormais un risque statistique réel pour Ségolène au premier tour", en conclut-il, soulignant toutefois qu'"il n'y a pas de fatalité à cette situation, et la gauche a encore six semaines pour réagir".
Quelques jours avant le 21 avril 2002, M. Le Gall avait souligné devant l'équipe de campagne de Lionel Jospin la hausse dans les sondages de Jean-Marie Le Pen, finalement qualifié pour le second tour aux dépens du socialiste.