"Je ne peux pas imaginer que des organisations professionnelles responsables puissent refuser la main tendue", assure Jean-Louis Debré. "Il est de mon devoir de lancer un appel à ce dialogue (....) Le dialogue, ce n'est pas l'ultimatum".
Quant au rôle de Nicolas Sarkozy, le député UMP de l'Eure assure que "la ligne fixée par le président de la République pour sortir de la crise s'impose à tous, même à ceux qui, dans la majorité parlementaire, prônaient publiquement encore récemment une autre méthode".
"Je connais bien les deux présidents des groupes parlementaires UMP et leur indépendance d'esprit", ajoute-
t-il. "Je suis certain qu'ils ne laisseront à personne d'autre le soin de rédiger la proposition de loi".
Et de lancer que "laisser penser que quelqu'un, dans leur dos, serait à la manoeuvre à leur place, ce serait faire injure à leur personnalité".
Le président de l'Assemblée "ne croit pas du tout" à un désaveu de Dominique de Villepin. "Pour moi, ce qui est en cause, ce n'est pas un homme et son avenir, mais savoir si, dans notre pays, on peut réformer dans le cadre de la légalité républicaine".
Quant au rôle de Nicolas Sarkozy, le député UMP de l'Eure assure que "la ligne fixée par le président de la République pour sortir de la crise s'impose à tous, même à ceux qui, dans la majorité parlementaire, prônaient publiquement encore récemment une autre méthode".
"Je connais bien les deux présidents des groupes parlementaires UMP et leur indépendance d'esprit", ajoute-
t-il. "Je suis certain qu'ils ne laisseront à personne d'autre le soin de rédiger la proposition de loi".
Et de lancer que "laisser penser que quelqu'un, dans leur dos, serait à la manoeuvre à leur place, ce serait faire injure à leur personnalité".
Le président de l'Assemblée "ne croit pas du tout" à un désaveu de Dominique de Villepin. "Pour moi, ce qui est en cause, ce n'est pas un homme et son avenir, mais savoir si, dans notre pays, on peut réformer dans le cadre de la légalité républicaine".
Candidat libre, pour une métropole libre !