Selon ses porte-parole, elle est "la seule légitime à parler" au nom des étudiants car elle est issue "des AG de chaque université". Ils demandent à l'Unef de cesser de négocier.
Alors que l'Unef a quitté la coordination étudiante samedi, celle-ci se revendique désormais comme la seule instance légitime pour représenter les étudiants.
Elle s'est présentée dimanche 25 novembre, à Lille, comme "la seule instance représentative des étudiants", car elle est issue des assemblées générales tenues dans les universités, tout en demandant à l'Unef de cesser toute négociation avec le gouvernement.
La coordination est "la seule légitime à parler" au nom des étudiants, car "elle est composée de délégations issues des AG de chaque université", a expliqué Edouard, un de ses porte-parole.
La coordination a cependant demandé au bureau de l'Unef "de prendre clairement position pour l'abrogation de la loi Pécresse et cesser toute négociation jusqu'au retrait de cette loi". Elle a également appelé à une mobilisation le 27 novembre, à "une manifestation nationale étudiants/lycéens" le 29, à "une journée de solidarité nationale avec les sans-papiers le 3 décembre" et à une "journée de mobilisation interprofessionnelle le 4 décembre".
Alors que l'Unef a quitté la coordination étudiante samedi, celle-ci se revendique désormais comme la seule instance légitime pour représenter les étudiants.
Elle s'est présentée dimanche 25 novembre, à Lille, comme "la seule instance représentative des étudiants", car elle est issue des assemblées générales tenues dans les universités, tout en demandant à l'Unef de cesser toute négociation avec le gouvernement.
La coordination est "la seule légitime à parler" au nom des étudiants, car "elle est composée de délégations issues des AG de chaque université", a expliqué Edouard, un de ses porte-parole.
La coordination a cependant demandé au bureau de l'Unef "de prendre clairement position pour l'abrogation de la loi Pécresse et cesser toute négociation jusqu'au retrait de cette loi". Elle a également appelé à une mobilisation le 27 novembre, à "une manifestation nationale étudiants/lycéens" le 29, à "une journée de solidarité nationale avec les sans-papiers le 3 décembre" et à une "journée de mobilisation interprofessionnelle le 4 décembre".
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