Or, vendredi matin seuls une douzaine d'articles avaient été examinés sur la centaine que compte le projet de loi présenté par Nicolas Sarkozy, ministre de l'Intérieur, et sur lesquels ont été déposés environ 400 amendements.
La gauche, qui, comme les Eglises chrétiennes, dénonce vivement un texte qui vise à promouvoir l'immigration "choisie" et non plus "subie", défend un par un tous ses amendements.