Le CEREPPOL - www.cereppol.eu - ne désarme pas sur la question de la relance active de l’emploi en Europe et, surtout en France. Si le nouveau modèle de développement « à la française » devait avoir un visage, probablement qu’il aurait les traits de caractère suivants : une vision profonde des réalités structurelles, une approche sériée et concrète des besoins ainsi qu’une motivation à l’épreuve du découragement.
Ces mêmes valeurs sont aussi celles que partagent les Institutions européennes dans leur contrat-cadre de développement pluriannuel.
Fort de cet héritage moral, le CEREPPOL est placé sous le Haut Patronage du Parlement européen et s’enorgueillit de pouvoir maintenir un dialogue ouvert avec les autorités françaises, notamment avec Nicolas Sarkozy, Valéry Giscard D’Estaing, et avec les partenaires européens tels que Martin Schulz, Président en exercice du Parlement européen, les eurodéputés et les membres du conseil Economique et social Bruxellois.
Face aux défis à relever en matière de relance de l’emploi et d’amélioration du lien sociologique, le projet PROTEE entend adapter les objectifs généraux de l’approfondissement de la construction européenne aux défis locaux de redynamisation des territoires.
Un projet généreux dans la forme et les moyens car le traitement de la question de l’emploi y est abordé sous l’angle de la transversalité. Il ne peut y avoir de relance sans concertation ni coparticipation des acteurs impliqués dans le cycle de l’économie productive. Le CEREPPOL en est convaincu et s’engage avec Bruxelles pour rendre effectif des objectifs européens partagés par l’ensemble des membres du Conseil de l’UE.
Les priorités du CEREPPOL
Pour François DI SALVO, actuellement Président en exercice du CEREPPOL, la feuille de route qui a été explicitée à travers les grandes orientations du document « Europe 2020 » inspire l’ensemble de la démarche proactive du projet/programme PROTEE. Partant du constat suivant le quel en l’espace de 43 ans de construction communautaire (et d’approfondissement transverse), toutes les initiatives macro-économiques confondues ne sont toujours pas parvenues à redonner un "vrai travail", à quelques 15 millions d’européens, le défi était clair.
Pour réussir là où les anciens projets ont échoué, il incombe de replacer l’Europe dans un horizon de croissance durable, et d’associer les salariés et les entreprises à cette expansion. La cogestion des moyens et des fins semble être une piste qui rompt le cycle des confrontations dogmatiques et favorise l’ouverture.
Pour faire avancer la question de l’emploi et de l’employabilité, le CEREPPOL a considéré que cette question devait être associée à la réalisation d’un nouvel élément, dans le cadre commun de référence de l’UE : l'inclusion sociale durable.
Pour relever la gageure, le CEREPPOL en a appelé à l’esprit de bonne gouvernance du Premier Ministre en lui adressant le contenu complet de PROTEE.
Ce document vante une voie de développement qui ne peut être mise en oeuvre sans une action concertée avec les pouvoirs publics, notamment en raison de la démarche économique « active » qui y est décrite. Elle rompt d’avec les politiques économiques passives qui ne font qu’amplifier le phénomène de dégradation des objectifs stratégiques européens.
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