Nicolas Bay a toutefois assuré que l'absence de financement public ne nuirait pas au fonctionnement courant du parti, habitué à se passer de cette manne puisque sur la législature précédente, la subvention (400.000 euros par an) était "entièrement consacrée au remboursement des dettes" du MNR.
Ces dettes sont désormais ramenées, campagne législative 2007 comprises, à environ "un million d'euros", un montant que le MNR pourra assumer par ses propres moyens en procédant à des étalements, a-t-il dit.
Selon Nicolas Bay, le MNR a recueilli en moyenne 0,4% des voix au plan national, et 0,6% si l'on ne prend en compte que les circonscriptions ou le MNR était présent.
Sur le plan politique, le MNR veut poursuivre sa démarche de "catalyseur de la droite nationale", et trouver des accords avec le FN pour les élections municipales, a-t-il indiqué.