Au grand dam du FN, le candidat UMP répète sa volonté de conquérir le vote frontiste et le vote de "ceux qui ne votent plus", parce qu'ils ont été déçus par la classe politique.
Et le message pourrait être entendu par certains: selon un récent sondage, jusqu'à 20% des électeurs de M. Le Pen en 2002 pourrait cette fois voter pour le candidat UMP.