Le candidat du Front national a ajouté que "la police est sur les dents" à la suite de la plainte qu'il a déposée, soupçonnant une effraction dans le système informatique de campagne du parti d'extrême droite.
Des personnes non identifiées voudraient ainsi faire pression sur les maires soutenant sa candidature. "J'espère que (la police) va démasquer l'ensemble des manoeuvres qui ont tendu à me priver des signatures nécessaires", a-t-il lancé.